Après 43 ans on a accédé de nouveau à la soute avant…(2 ème partie).

Notre amie Alexandra nous a donné cette précision suite à notre commentaire dans la partie 1.

« Notez les ficelles de laine enroulées et nouées entre les tuyaux pour limiter les vibrations ».

« Ce sont des frettes, ce qui permet d’éviter que les tuyauteries se touchent entre elles et donc d’avoir une usure prématurée du métal avec des conséquences que ça peut avoir ».

Maintenant visitons la soute avant :

Quelques vue de la partie arrière de la soute.

Notez les pastilles rondes apposées par le service de contrôle qualité sur la plupart des plaques lors de la vie active du SA et les anneaux de fixation pour l’arrimage du matériel ou du fret dans la soute.

Pris par le temps nous n’avons pas déroulé ce tapis qui a été laissé à bord en 1976.

Lors de notre prochaine visite on va le faire, et rechercher dans la documentation a quoi servait les deux niches ci-dessous dans lesquelles étaient logées des calculateurs ou des enregistreurs ?

Et comme un peu partout dans le fuselage toutes les connexions sont repérées par des étiquettes mais on retrouve souvent la même précision instruite au crayon directement sur la tôle.

Quelques vue de la partie avant de la soute.

L’accès à la soute depuis la cabine avant est situé dans le plancher du côté droit.

Cette plaque est tenue par 9 vis et devait certainement permettre de passer des câblages d’essais. Par la suite ce passage rond a été obturé par une plaque d’aluminium pour permettre la poser de la moquette lors de la modification du fuselage par Air France en 1976, avant l’exposition su SA, au parking P7 par Aéroport de Paris.

A l’opposé côté gauche on trouve (a priori le seule passage) qui donnait accès à la soute.

Lors d’une prochaine exploration il faudra essayer de détermines a quoi correspondaient les différents supports et inscriptions sur les photos ci-dessous.